Avis: Ce communiqué de presse a été traduit automatiquement. Version originale en allemand.

Communiqué de presse de l’équipe de défense de Michael Ballweg

32e jour d’audience - Enquête fiscale sans soupçon ? Une note suggère une procédure pénale planifiée contre Ballweg

Stuttgart, 14 avril 2025 – Lors du 32e jour du procès pénal contre Michael Ballweg, l’audition de l’ancien chef de service de la brigade fiscale a été au centre des débats. Ses déclarations jettent une lumière critique sur les débuts de l’enquête — et renforcent l’impression d’une procédure politiquement motivée et préparée très tôt.

Surveillance dès 2020 – sans soupçon initial

Le témoin a confirmé que Michael Ballweg était surveillé par les services fiscaux dès août 2020 — alors même qu’aucune déclaration fiscale 2020 ne pouvait être déposée à ce moment-là et qu’aucun soupçon fiscal n’existait. Le délai officiel de dépôt expirait le 28 février 2022.

« On a commencé à m'observer avant même qu'il y ait quoi que ce soit à examiner », déclare Ballweg.

L’intérêt précoce s’expliquerait, selon le témoin, par la visibilité médiatique du prévenu. Une pratique « pas inhabituelle » pour déclencher une vérification fiscale — mais que la défense juge très problématique.

Une note suggère une procédure pénale anticipée

Un mémo interne datant de 2020 a particulièrement retenu l’attention : une agente du fisc y prédisait qu’une procédure pénale fiscale aurait lieu — un an et demi avant le dépôt de l’acte d’accusation.

« Une procédure pénale qui attend juste la bonne date — ce n’est pas un État de droit, c’est un scénario », dénonce Me Reinhard Löffler.

Le chef de service s’est montré de plus en plus évasif. À des questions précises sur la communication avec le parquet, il a déclaré « ne pas s’en souvenir ». Il est également resté vague sur la naissance du soupçon initial.

Ballweg : « Pas de soupçon, mais un plan »

Michael Ballweg résume la situation :

« Aujourd’hui, c’est clair : en 2020, j’étais un contribuable irréprochable — même les enquêteurs fiscaux l’ont confirmé. Pourtant, une enquête poussée a été lancée. Non pas parce qu’il y avait des indices — mais parce qu’on voulait un procès. »

QUERDENKEN-711 restait actif — financé par Ballweg

Un autre témoin, membre actif de QUERDENKEN-711, a confirmé que le mouvement a continué ses activités après l’incarcération de Ballweg — avec des manifestations, une infrastructure technique et des structures organisationnelles. Les systèmes informatiques ont fonctionné sans interruption et le financement venait toujours de Ballweg. Il a insisté sur l’ampleur de l’effort :

« Petite ou grande, une manif coûte toujours 100 000 euros. Même si elle est annulée. »

La dernière grande manifestation de QUERDENKEN-711 a eu lieu le 3 août 2024 à Berlin, avec environ 60 000 participants. Elle a été organisée et financée via les structures existantes, selon le témoin.

Ces éléments contredisent fortement la version du parquet, qui parle de manifestations spontanées et presque gratuites.

Mythe de Costa Rica réfuté : pas de “conteneur de fuite” à Hambourg

Un autre reproche : Ballweg aurait chargé toutes ses affaires dans un conteneur pour s’enfuir au Costa Rica. Le deuxième témoin, un commissaire de police de Hambourg, a ouvert lui-même le conteneur. Son témoignage est clair : pas d’effets personnels, aucune intention de fuite, aucune preuve de départ — seulement du matériel de la société media access GmbH.

« On ne parle de biens personnels que si on emporte tout. Ce n’était clairement pas le cas ici », a déclaré Me Reinhard Löffler.

La prochaine audience est prévue pour le mardi 29 avril 2025, avec l’audition de quatre témoins supplémentaires.

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